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l’autre, et chacun vis-à-vis de soi-même. Des deux côtés on craindrait autre chose, mais on se rassure comme on peut, en pensant qu’il est bien difficile que l’âge de la raison en soit susceptible, et que l’âge de la sagesse en soit capable. Quoi qu’il en soit, cette amitié ou cette autre chose, comme il plaira de les nommer, en sont quelque tems aux complimens : mais enfin le naturel prend le dessus, et tant mieux ; c’est ce naturel qui aime, c’est ce naturel qui plaît, c’est lui qui est nous, et