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l’avenue de Tourneval, et, par ce moyen, les deux maisons, pour la première fois en regard, semblent avoir fait enfin, comme les deux maîtres, connaissance l’une avec l’autre, pour ne plus se perdre de vue. On suppose de reste que le nouveau chemin desséché, régalé, affermi, ne tardera pas à être frayé par l’amitié, et que la correspondance entre Tourneval et Chérazile deviendra plus active que jamais.
Cependant madame de Saint-Victor se promenant un jour seule en