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voyages de M. Lambert se borneront à des allées et venues entre Chérazile et Tourneval. La distance était un peu grande pour des parties de plaisir, à cause des marais qu’il fallait tourner pour arriver au dernier endroit ; mais l’amitié trouve moyen de rapprocher jusqu’aux demeures.

On saura qu’une avenue superbe, alignée sur le point central du château de Tourneval, se prolongeait environ une lieue et demie dans ses forêts, et qu’elle aboutissait à d’autres bois où l’on ne s’était point encore