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fans ; dois-je laisser ma dépouille à ses héritiers et en priver les miens ? J’exposai le fait de mon mieux à ces Messieurs, et l’avis unanime fut qu’il n’y avait pas un instant à perdre pour mettre les fers au feu. — Eh bien, ils avaient raison. — Alors je demandai combien de tems le procès devait durer, l’on m’en cita assez mal-adroitement un presque absolument du même genre, qui venait d’être jugé au bout de plus de cent ans. Je comparai ce siècle avec les trois mois qui avaient suffi pour me dépouiller, et