Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/108

Cette page a été validée par deux contributeurs.

tion, du plaisir qu’il trouvait dans ma société, lui proposer de me rendre un bien que dans le fait il ne m’a point enlevé, qui est à lui comme il était à moi ! Mon séjour chez lui n’aurait été qu’un long espionnage, mes questions auraient été autant de piéges, et je n’aurais gagné sa confiance que pour en abuser ? Non, tenez, vous ne dites pas ce qui est dans votre cœur. Au fait, ce jeune homme est aussi honnête qu’aimable, je crois le bien connaître. Si j’avais une adoption à