Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/101

Cette page a été validée par deux contributeurs.

mais dites vous-même, cela n’est-il pas plaisant ? — Oh ! très-plaisant. Vous qui faites si joliment des vers, ce serait le sujet d’un conte. — Badinage à part, si l’autre revenait il serait bien étonné, qu’en pensez-vous ? — Au fait, il n’aurait rien à dire, il verrait que ses intentions ont été bien remplies, au moins quant aux dépenses. — Mais quant aux secours à distribuer aux malheureux ? — Ils ont passé, dit l’autre, aux gens de justice, qui souvent sont aussi des malheureux. — C’était-là