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amoureuses, comme des minuties qui n’auraient pas fait assez d’honneur par leurs circonstances a son livre, ny à son Heroïne. Je suis persuadé qu’il n’y a point en France de Comedienne dont la vie ne puisse fournir autant de matiere qu’il en faut pour faire de pareilles Histoires. En attendant que nous les voyions, je vous donne celle-cy telle qu’elle m’est veneüe entre les mains, sans y augmenter ny diminuer ; je souhaitte qu’elle vous divertisse. Adieu.