Page:Bouchor - Les Chansons joyeuses, 1874.djvu/282

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
À GERMAIN NOUVEAU
POËTE



Parmi les poëtes nouveaux,
Mon Germain Nouveau, tu te lèves,
Et la religion des rêves
Te compte parmi ses dévots.

Car tu crois encore aux féeries
Du clair de lune et des forêts,
Et tu vois danser dans l’air frais
Cent mille fantasmagories.