Page:Botrel - Les Chants du bivouac, 1915.djvu/53

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

 


 

FLEUVE DE LARMES

 
Vive Dieu ! la race française
Superbement se ressaisit
Et, fredonnant la Marseillaise
En vérifiant son fusil,

Elle s’élance à la Frontière
Que viole un lâche ennemi,
Farouche, résolue et fière
Comme ses « Anciens » de Valmy !…