Page:Botrel - Les Chants du bivouac, 1915.djvu/188

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Alors, baisant avec tendresse
Ses quatre dalles de granit,
Fou d’espoir, ivre d’allégresse,
Je repassai le seuil béni :

« Merci, Jeanne ! Adieu, bonnes Saintes !
À Domrémy nous reviendrons
L’an prochain, les haines éteintes
Et bouté dehors l’Ennemi ! »