Page:Botrel - Les Chants du bivouac, 1915.djvu/182

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Car voici que cent ans sonnés d’hier à peine,
Penché lugubrement sur ton immense plaine,
Écoutant de la Mort le funèbre galop,

Un pâle imitateur de ton élève Corse
S’écrie en frissonnant malgré sa rude écorce :
« Où vais-je ? »
Et tu réponds, sinistre :
« Á Waterloo ! »

(Brienne, le 12 septembre.)