Page:Botrel - Les Chants du bivouac, 1915.djvu/152

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Quand du derrière ils torlillonnent,
Ils riboulent des yeux poupins ;
Ah ! ce sont de fameux lapins :
Comme ils plastronnent !

Et ce sont des lapins gourmets :
Dans leurs gros ventres en futailles,
Chaque jour, que de victuailles
Viennent s’engouffrer pour jamais !
Aussi, faut voir ce qu’ils bedonnent,
Ce qu’ils sont lourdauds et clampins !
Ah ! ce sont de fameux lapins :
Comme ils entonnent !