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Devant les demeures princières,
Temples de richesse et d’amour,
Je songe à tes humbles chaumières…
Devant les demeures princières,
Je songe à tes clochers à jour !
L’Hiver venu, mon corps s’éloigne…
Mais mon cœur reste auprès de toi !
Que cette complainte en témoigne,
Arvor : de toi plus je m’éloigne,
Plus tu te rapproches de moi !
Cannes, février 1900.