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Et voilà pourquoi j’ai, moi-même,
Toujours soigné mes animaux,
Pourquoi, connaissant tous leurs maux,
J’exige que chacun les aime :

Aimons-les, ingrats que nous sommes ;
Soyons doux, indulgents pour eux !
Ce sont nos frères malheureux :
Les bons frères des méchants hommes ! »




Cette poésie est éditée séparément. — G. Ondet, éditeur.