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III

Ohé, la Grise ! nous irons, sans faute,
xxxxÀ la Pentecôte
xxxxAu Pardon, tous deux,
Pour que Saint Gildas, quand tu seras morte,
xxxxT’entr’ouvre la porte
xxxxDes Paradis bleus :
Pour soc de charrue on prendra la Lune ;
xxxxEt, par la nuit brune,
xxxxDans les champs sacrés,
Nous labourerons, tous les deux encore,
xxxxPour y faire éclore
xxxxDes Astres dorés !xxxxxxxxxx(au Ref.)