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uniquement songer à bien faire, et laisser venir la gloire après la vertu. C’est ce qu’il inspirait aux autres, c’est ce qu’il suivait lui-même. Ainsi la fausse gloire ne le tentait pas : tout tendait au vrai et au grand. De là vient qu’il mettait sa gloire dans le service du roi et dans le bonheur de l’Etat : c’était là le fond de son cœur, c’étaient ses premières et ses plus chères inclinations. La cour ne le retint guère, quoiqu’il en fût la merveille. Il fallait montrer partout, et à l’Allemagne comme à la Flandre, le défenseur intrépide que Dieu nous donnait. Arrêtez ici vos regards. Il se prépare contre le prince quelque chose de plus formidable qu’à Rocroi ; et, pour éprouver sa