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divines, que ses peines et ses sentiments lui faisaient entendre. Malheur à moi si dans cette chaire j’aime mieux me chercher moi-même que votre salut, et si je ne préfère à mes inventions, quand elles pourraient vous plaire, les expériences de cette princesse, qui peuvent vous convertir ! Je n’ai regret qu’à ce que je laisse, et je ne puis vous taire ce qu’elle a écrit touchant les tentations d’incrédulité. Il est bien croyable, disait-elle, qu’un Dieu qui aime infiniment en donne des preuves proportionnées à l’infinité de son amour et à l’infinité de sa puissance : et ce qui est propre à la toute-puissance d’un Dieu passe de bien loin la capacité de notre faible raison. C’est, ajoute-t-elle, ce que je me dis à moi-même