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par conséquent inévitable, divine et par conséquent infinie, qui nous dira qu’elle n’agisse jamais selon sa nature, et qu’une justice infinie ne s’exerce pas à la fin par un supplice infini et éternel ? Où en sont donc les impies, et quelle assurance ont-ils contre la vengeance éternelle dont on les menace ? Au défaut d’un meilleur refuge, iront-ils enfin se plonger dans l’abîme de l’athéisme, et mettront-ils leur repos dans une fureur qui ne trouve presque point de place dans les esprits ? Qui leur résoudra ces doutes, puisqu’ils veulent les appeler de ce nom ? Leur raison, qu’ils prennent pour guide, ne présente à leur esprit que des conjectures et des embarras. Les absurdités