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Quoique généralement j’aie éloigné les traductions, néanmoins j’ai cru devoir admettre celles qui constituent un travail tenant presque de la création, comme par exemple les œuvres de Platon traduites du grec par M. Victor Cousin.

J’ai fait consulter avec soin les recueils publiés par des libraires ou des érudits devenus célèbres. On a mis largement à contribution la France littéraire[1] de mon savant et laborieux ami M. Quérard. Je ne dis pas cela pour m’excuser d’avoir fait commettre un plagiat, je le dis pour me vanter d’avoir fait puiser aux meilleures sources dans le but de conquérir à ce recueil la confiance des amateurs de livres.

Quelque petit que soit ce volume, il offre pourtant une nomenclature de plus de 1 100 ouvrages formant environ 7 000 volumes. Le champ est encore assez vaste pour que mes amis puissent y faire une récolte abondante en attendant une seconde édition rectifiée et augmentée.

Je fais appel à tous les conseils. Je les recevrai avec reconnaissance.

Trois tables distinctes se trouvent à la fin du volume. Elles faciliteront les recherches.

1o Une table des matières par matière.

  1. Ce livre si utile, qui a commencé la réputation de l’auteur, est décrit dans ce volume sous le numéro 923.