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difficile à atteindre, deviennent presque incommunicables ; c’est la pensée, le style et le goût.

Nous devons encore un témoignage de reconnaissance aux artistes qui ont contribué au modeste ornement de ce volume. Nos lecteurs apprendront avec intérêt que la plupart des lettres ornées qui décorent le commencement des chapitres, ont été dessinées par notre regrettable compatriote, M. E.-H. Langlois. M. G. Morin, directeur de l’École municipale de peinture de Rouen, et M. A. Drouin, ont bien voulu compléter cette série intéressante et toute spéciale, dont le burin justement célèbre de M. Brevière a traduit avec bonheur la piquante originalité.

Nous n’aurions peut-être pas acquitté toutes les délicates obligations que nous avons contractées, si nous n’ajoutions ici un sincère remercîment à M. N. Periaux, pour les soins vigilants qu’il a apportés à surveiller l’exécution typographique de notre ouvrage. En province, la publication d’un livre d’une certaine étendue étant souvent considérée comme une laborieuse entreprise, notre peu d’expérience eût sans doute accru nos perplexités, si cet habile typographe, et M. A. Péron, son digne successeur, ne nous fussent venus puissamment en aide.

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