Page:Borel - Rapsodies, 1868.djvu/51

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Baigné de pleurs mon corps est épuisé :
À ce combat tout mon cœur s’est brisé !


Ma jeunesse me pèse et devient importune !
Ah ! que n’ai-je du moins le calme d’un vieillard.
Qu’ai-je à faire ici-bas ?… traîner dans l’infortune ;
Lâche, rompons nos fers !… ou plus tôt ou plus tard.
— Mes pistolets sont là… déjouons le hasard ! ! !