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VII.


Ah ! c’est mal !




Visite de Passereau à Philogène. — Passereau dissimule et persifle. — Ils vont se promener dans les marais. — Passereau, comme par hasard, rencontre la maison de son père nourricier et fait entrer Philogène dans un jardin inculte. — Est-il une plus douce chose que la solitude ? — Passereau laisse entrevoir ses soupçons, Philogène proteste. — Il dissimule et persifle. — L’heure du crime approche, prions Dieu ! — Sous les tilleuls, remarquez s’il vous plaît que ceci n’est point un roman qui enfonce Jean-Jacques et Richardson.


Juste à l’heure dite, arriva Passereau. En lui ouvrant la porte, Mariette avec un air surpris s’écria : — Quoi ! c’est vous, mon bel écolier ! Hélas ! bien que j’aie grand plaisir à vous voir,