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Ne songeait à rien qu’à l’amant,
Que lui ramenait sûrement
Son ambassade voyageuse.


IV



COMMENT MYRTIL FIT A TRAVERS LE MONDE UN VOYAGE MERVEILLEUX QUI DURA CENT ETCINQUANTE ANNEES.



Myrtil s’était mis en chemin,
Guidé par les bonnes Abeilles.
Lorsqu’il les eut de ses oreilles
Ouï, comme en langage humain,
Qui contaient l’histoire suivie
De son beau songe trait pour trait,
Et comment Rose l’attendrait