Page:Bonnières - Contes des fées, 1881.djvu/113

Cette page n’a pas encore été corrigée

« Votre bonté passe en tout mon envie,
« Et pour ma part j’ai le sens trop étroit
« Pour être induit à tenter par surcroit
« Le sort chanceux d’une seconde vie. »


IV



COMMENT LA FÉE EN BONNE PERSONNE BUT ET MANGEA AVEC MULOT ET MULOTTE



Le Conteur dit que l’on ne poussa pas,
Et que la Fée était bonne personne.

— « Chacun, dit-elle, à sa mode en raisonne,
« Ami Mulot. Vous êtes, en tout cas,
« De braves gens, — le reste vous regarde. »

Puis, honorant Mulot comme il voulait,