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une assimilation possible aux aberrations du Maître. Volontiers nous eussions attendu encore, mais désormais le temps n’est plus à nous : demain il serait trop tard. Nous sommes persuadés que la Terre n’est pas la défaillance éphémère du grand homme, mais le reliquat de compte d’une série de chutes, l’irrémédiable dépravation morbide d’un chaste. Nous n’attendons pas de lendemain aux Rougon ; nous imaginons trop bien ce que vont être les romans sur les Chemins de fer, sur l’Armée : le fameux arbre généalogique tend ses bras d’infirme, sans fruits désormais !




Maintenant, qu’il soit bien dit, une fois de plus que, dans cette protestation,