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premier salaire, qui touche comme un homme ce qu’on appelle le pognon.

En ce crépuscule bleu, l’annonce du gain « entourne » le garçon comme une valse échevelée, comme une rasade de genièvre. La Julia, elle, fait la folle, elle pouffe et regarde Didier pour le faire rire, ce qui leur vaut à tous deux, en deux langages, un rappel à l’ordre bien senti.