Page:Boissonnas, Un Vaincu, 1875.djvu/68

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


48
Un Vaincu.

çait sur les enfants. À peine l’avaient-ils vu, ils se pressaient autour de lui, écoutaient ses moindres paroles, ils lui donnaient leur cœur et ne l’oubliaient plus. La lettre que nous venons de lire explique cet attrait singulier. Celui qui l’a écrite aimait les enfants, il les aimait avec prédilection, et c’est cette affection qui était sentie par eux et lui était rendue.