deux pièges où risquent de se laisser prendre les pionniers de l’inconnu.
Comme je me sens impuissante à renouveler des formules, lentement cherchées, sur l’au delà et les forces inconnues, vous ne trouverez dans ma réponse que des répétitions de ce que j’ai déjà écrit sur cette ardente question.
L’antiquité à laquelle, me croyant à tout jamais païenne, j’ai attribué une valeur religieuse démodée aujourd’hui, malgré le tardif plaidoyer de M. Anatole France, fut, à son aurore proche du divin, mais elle a été, de la religion, c’est-à-dire de la science sacrée, à la science profane. L’avenir est meilleur, il semble, car nous allons de la science profane à la science sacrée, c’est-à-dire à la religion.
Le péril est, durant les périodes de transi-