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L’AU DELÀ ET LES FORCES INCONNUES

songeons que l’âme n’est pas seule à survivre, que cette chair si douce et si belle, à laquelle s’associent la continuité de la race et la volupté, ne périra point, car elle va se changer en des papillons diaprés.

« Je voudrais devenir une fleur, lorsque je t’aurai quitté pour le voyage éternel, » nous dit parfois la Bien-Aimée. Mais n’est-ce pas là encore une vie inférieure et végétative ? « Tu seras un papillon étincelant, et de la tombe tu t’envoleras pour réjouir les prairies, » pourrons-nous répondre à la Bien-Aimée, après avoir lu le livre de M. Finot.


Ah ! ne soyons plus pessimistes, puisque le corps des Parisiennes est immortel !