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L’AU DELÀ ET LES FORCES INCONNUES

mondaine, ni le réalisme scientifique, ni le flot montant de l’incrédulité n’ont pu en avoir raison : on dirait que les sorciers reviennent au fur et à mesure que les dieux s’en vont… La question est donc une question d’actualité au premier chef. Pour tout un public, beaucoup plus considérable qu’on ne pourrait se l’imaginer à priori, c’est même le capital souci du jour.

» Effectivement, il y a là un facteur nouveau — moral et social à la fois — dont force est bien aux plus détachés de tenir compte.

» Attachant apparemment quelque prix à l’opinion motivée du modeste vulgarisateur que je suis, vous me demandez de vous dire ce que j’en pense, sous réserve de faire état de ma réponse, de la reproduire et de la commenter.

» Oh ! mon Dieu, c’est bien simple. Dussé-je surprendre et même froisser, sinon Jules Bois lui-même, dont je connais l’imperturbabilité, au moins tels ou tels de ceux qui voudront bien s’intéresser au débat, je dirai tout à trac que je n’entends rien à l’Au delà, et qu’il ne me plaît pas d’y rien entendre. Systématiquement, je