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35. Faisons le bien à la fabrique

Finissons c’est assez, en nous aidant quand même
Bon électeur, il faut épargner pour soi-même.
Son temps pour être libre et tout considérer,
Aimons nos lois, nos mœurs, il faut frères s’aimer
Apaisons les partis et que chacun s’efforce
À être utile à tous. Le travail est la force.


Le travail est la force et cette force a été prouvée de toute antiquité. La mère n’a pas de travail plus grand que de mettre un enfant au monde et le père de lui fournir du pain. L’enfant travaille d’abord pour son éducation, ensuite ne apprentissage, après pour la Patrie et, à son tour, pour sa famille, et si se capacités sont reconnues par ses concitoyens, il doit accepter leurs suffrages et travailler à les défendre devant sa commune, son département, la nation ou l’étranger.

L’amour du travail, c’est celui de la Patrie. Si différents peuples de l’Orient travaillaient autant que nous, la moyenne du travail manuel diminuerait les heures du travail de la journée.

Il faudrait remplacer par l’étude de la langue universelle, que nous avons nommée Patoiglob ou Patoilibre, traduite en écriture latine et avec prononciation latine, car les langages et les écri-