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ses plumes, l’autre d’une partie de sa fortune et de son honneur.


Si nous savions accompagner un refus de quelques paroles propres à exprimer la peine que nous éprouvons à le faire, il en causerait bien moins à celui qui le reçoit.


Malheur à celui qui, entrant dans la vie, épuise d’un seul trait la coupe qu’elle lui tend : il ressemble au convive qui arriverait chancelant d’ivresse au banquet où l’attendaient ses amis et la joie.