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Les habitants d’un pays sans nationalité sont comme des enfants qui n’ont plus de mère.


Plaignez les infortunes de vos frères, et ils ne se réjouiront point des vôtres.


La liberté sans la vertu, c’est l’arme de la mort dans la main du brigand.


À voir l’indifférence avec laquelle les hommes jouissent de leur prospérité et le chagrin que leur font éprouver les contrariétés, il semble-