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En conversant avec les hommes, cherchez bien plutôt à vous instruire qu’à instruire les autres.


L’amour de la patrie est la force vitale d’un peuple : que ce sentiment s’affaiblisse en lui et bientôt, comme un vieux tronc dont le suc nourricier s’est tari, il se dessèche et meurt.


Si vous n’avez le courage de vous faire des reproches, il vous faudra subir l’humiliation de les recevoir.


Voulez-vous qu’on parle toujours bien de vous ? ne parlez jamais mal des autres.