Page:Bogaerts - Pensées et maximes.djvu/125

Cette page a été validée par deux contributeurs.

puissions sans regret aussi rejeter la vie comme un bouquet flétri.


Combien de temps il se perd à combiner com­ment on l’emploiera !


Fixant dans l’avenir le terme de notre course, nous disons : là, je voudrais m’arrêter ; le sage, n’importe quand et où son pèlerinage s’achève, dit : Je suis arrivé.


Aux yeux du sage le prix d’un objet ne con-