Page:Boethius - Consolation 1865.djvu/73

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



TRADUCTIONS FRANÇAISES


de


LA CONSOLATION PHILOSOPHIQUE DE BOÈCE.




Boèce de Consolacion, par Jean de Meung.

Traduction en prose et en vers, composée vers la En du treizième siècle et imprimée pour la première fois, sans indication de lien ni de date, mais à Lyon, en 1485, sous ce titre :

Cy commence Boèce de Consolacion en françois, jouxte et au plus près du latin pour consoler les entendements de ceulx qui prennent soulas et plaisir au latin et au roman qui fut translate par maistre Jehan de Meun à la requeste de très-excellent chrestien jadis Roy de France, Philippe le Quart. In-folio gothique.

La complainte de la tribulacion del myrable philosophe qui fu appelez Boèces, et de la consolation de la phylosophye qi el confortoit en semblance d’une dame, traduction entièrement en prose, sans nom d’auteur.

Ms. de la fin du treizième ou du commencement du quatorzième siècle ; Bibliothèque impér., f. fr. n° 821.

Roman de fortune et de Félicité sur Boèce, par Régnault de Lovens, de l’ordre de Saint-Dominique, traduction entièrement en vers, datée de 1346 (mil cccxvi et trente).

Biblioth. imp., f. fr. n° 1540.

La bibliothèque d’Arras possède aussi un ms. de cette traduction.