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SSL ; NOTES DU LIVRE [V.

Noms 20. PAGE 257.

et notre ami Lucain nous le dit....

Nec quemquam jam ferre potest Cœsarve priorein Pompeiusve parem. Quis justius induit arma ? Scire nefas ; magno se judice quisque tuetur : Victrix causa diis placuit, sed victa Catoni. Dès ce moment César ne peut plus souffrir de supérieur ni Pompéc d’é al. Le uel des deux rit les armes et meilleur droit ? uestion inso-S P

luble ! Chacun d’eux se couvre d’un autorité auguste : le parti du vainqueur eut pour lui les dieux ; celui du vaincu, Caton. ai (Pharsdc, liv. É, v. IÈÈÃ, sq.)

Nora 21. Pxon 959.

De l’homme aimé des dieux le corps est plein de force. Sauf Badius Ascensius qui, on ne sait pourquoi, attribue. À Hermès Trismé iste le vers incorrect cite war Boèce il s’ ’trouve une faute de S l F

quantité), tous les anciens commentateurs sont d’avis qu’il ne peut appartenir qu’à un Père de l’Église. Ils ne voient pas d’autre moyen d’expliquer l’hommage que la Philosophie rond, en termes, il la vérité, bien remarquables, me guaque exccllentiar, a l’auto ritë du poëte. C’est toujours l’effet’de la même préoccupation. Nous croyons que nous avons simplement ici une de ces sentences dogmatiques, vénérables par leur antiquité, que Vécole d’ \Alexandrie titisait renionter aux anciens oracles, et dont elle autorisait volontiers son mx sticisme, comme M. Y. Cousin l’a si bien tlémoiitré dans sa belle étude sur les commentaires inédits d’Olympiodere. A l’appui de cette remarque, nous citerons un passage significatif du Second A/ci/dada de Platon. \pri-s avoir rapporté une formule de rière attribuée a un ancien ioëtc n’il ne nomme P l’T

pas, Socrate dit à son interlocuteur : « N’est-ce pas pou1· cette l’Z\iSO11 ue le oëte dont il a été uestion, et ai au savait 1lus uc nous.... n cli 5 YP ’ (l 7 l’I

’Ap ouv unil’: sîâdxç vt nléov ·7]y.ô’>v ô zotqtàç.... » N’est-ce pas là tout à fait le me guoguc czccllentior de Boecc ? Yom 22. Pxtm 261.

Mais un dieu seul pourrait expliquer ces mvstèrcs. Ycrs de l’Ilindz·, cli. XII, 176.