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- ’YOTÉS DIA LIVRE II. 353 Yom IG. Pscxa 99. MHIS €[lCOl’€, COl’l’lI)l€ll (I IIOIHIHBS, IIIUSISFCS de l€llI’VlV2ll]lZ.I qu’21 dévorés l’oubli, Faute d’tÉerits qui racontent leur gloire ! Horace a dit : Vixere fortes ante Agamemnona Multi, sed omnes illaerimabiles Urgentur ignotique longa I Xocte : eurent quia vate sacro, nt Bien des chefs valeureux ont vécu avant Agamemnon ; mais on ne donne oint de larmes à leur 111éIl]Oll’€"’sur tous cse la lon ne nuit de Il 1 P g l”oubli, parce qu’il leur a manqué un poëte sacré. a> (Odes, liv. IV, ix.) Et J. B. Rousseau, après Horace ’ Mais combien de grands noms, couverts d’ombrcs-l’unèbres’ Sans les écrits divins qui les rendent célèbres, Dans l’«-Éternel oulili languiraient inconnus ! Il n’est rien ne le tem s n’absorbe et ne dévore ’I P 1 Et les faits qu’on ignore Sont bien peu différents des faits non avenus. (Ode au prince Eugène, } Korn 17. PAGE 107. et les y traîne avec le croe. Allusion à la manière dont on traînait aux gémonies les cadavres des supplieiés : Sejanus ducitur uneo. » (JUVÉN., Sat, X, v. 66.) Korn’IS. Piton 109. Mortels, clest que depuis le jour Où l’Eternel créa le monde, Le firmament la terre et l’ondc 7 Sont les esclaves de l’amour. ette ex ica ion mvsti ne c es ois e univers remon e aux remier C pl t M q l l cl l° t p temps de la philosophie grecque. Proclus, dans son commentaire sur le prmnier Alcibiurle, rapporte même ces paroles d’un vieil oracle chaltlaîque :

llcîotyàp êvécuretpav 6 Ilowhp Esrxuôv toptâptûvî ’Epwroç. oz Le Père a mis dans toutes choses le lien enflammé de l, â\lllOlll’. v 23