hindoue, etc., etc. C’est elle qui a fait de si grands frais, mais sans succès, pour le maintien des anciens costumes nationaux dans les campagnes, et pour sauver des dialectes qui avaient été des langues de peuples célèbres, tels que le gaélique et le basque, de l’entier abandon où ils sont tombés.
Tandis que les naturalistes nous montrent dans leurs musées des échantillons de diverses races d’hommes rouges ou cuivrés, qui ont disparu de la surface du globe, conservés dans le sublimé ou l’alcool ; ou dans leurs jardins botaniques des familles de sauvages avec les habitudes de la vie des forêts et des savanes ; l’association fait l’acquisition d’une multitude de curiosités physiques et de belles horreurs, qui intéressent plus particulièrement l’art et la poésie, que la science. On lit dans un des rapports de son comité des finances : « L’association compte maintenant dans ses domaines cin-