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le temps d’arriver. Philirène aurait voulu le prendre en flanc pour lui lancer, dans ses côtes, certains projectiles qui lui auraient prouvé que l’hirondelle n’est pas sans quelques moyens de défense ; mais le milan, déviant de sa direction, lui vient aussi en tête, avec un léger mouvement d’ascension, en lançant par le bec quelques fusées, et en étendant déjà ses immenses griffes de fer toutes prêtes à enserrer sa proie.

— Ce ne sont pas des apprentis, ces coquins-là, dit tranquillement Philirène à Eupistos, qui, malgré sa foi philosophique, commençait à éprouver une sérieuse inquiétude.

Puis s’adressant à l’équipage : Messieurs, dit Philirène, nous allons apprendre bientôt à ces bandits qu’ils s’attaquent à un membre de l’institut scientifique européen.

En même temps, il ordonne une manœuvre et un redoublement de force motrice,