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avec ses chambres, plus éclairées que cette partie de la nation, se montre peu disposé à favoriser un projet dont l’utilité ni la convenance ne l’ont frappé ; il préférerait que les anciens rites, tels que les sacrifices sanglans, continuassent à se pratiquer sur les hauts lieux, comme à Samarie, afin de ne point rompre les relations de commerce et de bonne amitié qui existent entre les juifs et les chrétiens. »


Le grand-prêtre des juifs se lève, et demande la parole pour un fait personnel ; le légat du pape la demande aussi. On fait observer à ces honorables membres que le moment n’est pas venu de traiter la question.

« Enfin le gouvernement juif et la partie éclairée de la nation pensent que cette somme serait mieux employée aux travaux de desséchement qui doivent assainir la Mer-Morte, et conduire de l’eau dans le lit