aux projets aujourd’hui peu déguisés de l’association qui sous le titre de poétique ou d’anti-prosaïque universelle, a caché pendant assez long-temps sa tendance évidemment anti-civilisatrice. (Ecoutez.) L’accueil presque encourageant qu’elle a fiait aux demandes de secours qui lui ont été adressées par les perturbateurs de la paix terrestre, indique suffisamment son but réel. Ce sujet appellera votre sérieuse attention.
» Sans me permettre de préjuger vos résolutions, je peux rappeler les principes constans et la jurisprudence sociale du congrès en pareille matière.
» Assurément toute partie du genre humain, qu’elle s’appelle association ou nation, a le droit de se régir par des lois qui la rendent aussi malheureuse qu’elle le veut bien ; mais elle n’a pas le droit de rendre des individus malheureux contre leur volonté. Le suprême pouvoir social ne doit