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MARIE-ANNA LA CANADIENNE

ton départ, Marie-Anna, si tu te sens souffrante et écris-moi demain matin à Lévis.

Quand il fut parti elle fondit en larmes. Les jeunes gens l’entourèrent et la conduisirent à sa chambre.

Seule, elle tomba en prière et sanglota :

— Mon Dieu, ayez pitié d’eux !