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MARIE-ANNA LA CANADIENNE

blants pour la jeune fille et aujourd’hui encore en offrant à Jacques l’occasion de voir Marie-Anna plus souvent dans une maison voisine de la sienne, il avait ainsi aidé au développement d’un amour qui menaçait d’exclure tout autre sentiment d’affection et d’amitié.

Jacques restait prostré dans sa douleur. Le nom de Marie-Anna passa sur ses lèvres. Il soupira longuement… Gilbert vit la partie gagnée.

S’effaçant en silence, il le laissa tout à sa peine et discrètement se retira.