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III


Qu’on se représente maintenant un homme non seulement assoiffé de justice et de vérité, mais incendié à en mourir, dès son premier jour, de la concupiscence du Beau, — étant affublé, par néfaste sortilège, de cette livrée de facultés qui constituent l’écrivain de grand talent et s’accroupissant, avec cela, toute sa vie, dans la fondrière d’une obéissance imbécile.

Ernest Hello ne publia jamais une seule ligne sans l’avoir humblement soumise à