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tenu dans ces deux formules. Cependant l’âme quasi-prophétique de Jehan Rictus le précipite surtout à la première. Sûr que les enfants ont un besoin éternel d’être allaités corporellement et spirituellement, le dernier degré de l’infortune est, à ses yeux, de n’avoir pas eu de part à cette douceur… Cela fait une détresse de toute la vie, la détresse des orphelins qui meurent de faim, à trois mois ou à quatre-vingt-quinze ans, pour n’avoir jamais pu téter leur mère !