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APPENDICES

abrégée de Christophe Colomb, qui obtient le plus flatteur succès.

1870. — Un poème affreux, en idiome génois, paraît sous le titre de la Colombiade. — Une vie de Christophe Colomb, découvreur de l’Amérique, par Arthur Helps, est éditée à Londres. — Un professeur de l’Université de Gênes, M. le chevalier Gazzino, compose une belle ode sur la sainteté de Colomb. — On réimprime, en Angleterre, le Choix des lettres de Christophe Colomb, par R.-H. Major.

1871. — Une nouvelle Vie de Christophe Colomb est traduite à Florence. — Un Journal se fonde à Savone sous le nom de Christophe Colomb. — À Modène, M. Bernard Pallastrelli, dans un in-folio de luxe, traite du mariage de Christophe Colomb. — De Ferrari prend étrangement Christophe Colomb pour sujet de sa poésie.

1872. — La Revue des bibliothèques paroissiales doit à la plume d’un éminent archevêque des considérations de l’ordre le plus élevé sur Christophe Colomb. — Le bibliophile américain, M. Henri Harrisse, publie à Séville un volume sur le second fils de Colomb. — L’abbé Poggi imprime à Turin des poésies en l’honneur de Colomb.

1873. — L’année s’ouvre par un poème italien dont ce héros est l’argument. — M. d’Avezac accroît d’un appendice son Canevas Chronologique de La vie de Christophe Colomb. — Une excellente Histoire de Christophe Colomb à l’usage de la jeunesse, œuvre du savant docteur ès lettres, Dominique Bertolotti, recteur du séminaire de Saint-Charles à Arona, sort des presses de Turin. — Le professeur Jacques-Marie Ruffino publie une éclatante poésie en l’honneur de Colomb et de l’hospitalité franciscaine. — À Gênes, le chevalier Luigi Grillo parle ouvertement de la sainteté du plus grand des Italiens, et célèbre ses vertus héroïques