de lettres est inscrutable et profonde comme la nuit de l’espace, c’est une épouvantante contre-partie de la miraculeuse puissance de Dieu,… et celui-là, qui s’en va chercher sa pâture aux génitoires absents d’Albert Wolff, — dans l’inexprimable espérance d’une familiarité à épouvanter des léproseries, — est cent fois plus confondant qu’un thaumaturge qui ranimerait de vieux ossements !
« Feu Bastien Lepage, que de lointaines ressemblances physiques et morales rendaient sympathiques à Wolff, le peignit, un jour, dans l’ignoble débraillé de son intérieur.
« Ce portrait, aussi ressemblant que pourrait l’être celui d’un gorille, eut un succès de terreur au salon de 1880.
« La brutale autant que précieuse médiocrité du peinturier avait trouvé là sa formule.
« Il fut démontré que Bastien Lepage avait été engendré pour peindre Wolff et Wolff lui-même, pour être étonné du génie de Bastien Lepage, dont la destinée fut dès lors accomplie et qui, promptement, s’alla recoucher le premier, dans les puantes ténèbres de leur commune esthétique.
« Ce portrait devrait être acquis par l’État et conservé avec grand soin dans notre Musée national. Il raconterait plus éloquemment notre histoire que ne le ferait un Tacite, à supposer qu’un Tacite français fût possible et que la désespérante platitude