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les globes qui le sillonnent. La chaleur, le mouvement, la lumière, l’électricité, sont une nécessité pour toute l’étendue. Les hommes compétents pensent qu’aucune de ses parties ne saurait demeurer veuve de ces grands foyers lumineux, par qui vivent les mondes. Notre opuscule repose en entier sur cette opinion, qui peuple de l’infinité des globes l’infinité de l’espace, et ne laisse nulle part un coin de ténèbres, de solitude et d’immobilité.