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— Qui donc régnera à sa place ? » demanda finement Tada-Yoci.
Stéphane répondit : « Le bon sens, éclairé par la justice et la bonté.
— Et la conversion sera solide, durable ? dit Mlle Mertaud en prenant les deux mains de son élève. Soyez-en sûre, mademoiselle. J’ai fini par com- prendre que tout homme, à qualités égales, en vaut un autre. C’est à mon père, c’est à vous, c’est à Arkadi, c’est à Tada-Yoci et à Prosper Bouchut, c’est surtout à notre voyage en France que je devrai de n’être plus un enfant gâté et ridicule. Ne regrettez pas le Stéphane d’autrefois : le nouveau Stéphane vaudra mieux pour vous, pour tous et pour lui-même. »